Bienvenue sur le blog du conseil de quartier de la Souchez à Harnes

Cet espace a été ouverts pour favoriser les échanges avec la population. Information, Concertation, Animation... Vous y trouverez des billets réguliers pour vivre pleinement votre quartier et prendre part à son développement. Cet outil est au service de la démocratie locale pour que votre quartier se construise avec vous...


vendredi 26 mars 2010

Tous au bois ! Avec vos conseillers de quartier.





__________\\\\\ INSCRIPTION EN MAIRIE /////____________
9h30 – 12 heures : Nettoyage Citoyen du Bois de Florimond
12 heures – En cas-convivial pour les participants
13 heures à 17 heures – Visite des Lagunages Par les Eco-Gardes de « la chaîne des terrils » ( limitée aux participants dans la limite de 100 personnes )
14 heures – Grande Chasse à l’œuf. Ouverte aux enfants de 0 à 6 ans des quartiers de la Souchez et du Grand Moulin ( nombre limité ) , avec l’aimable participation des résidents du foyer Croizat.
14 heures - stands sur les énergies renouvelables.
20 heures 30 au Centre Prévert , projection d’un documentaire. « Nos enfants nous accuseront » Participation demandée aux participants de la journée de Un euro. Tarif habituel pour le public

mercredi 24 mars 2010

L'Avenir de l'Artois - Harnes tourisme


L'église Saint-Martin.Harnes est une des nombreuses communes touchées par la Grande Guerre. Située en retrait du front, elle constitue une base arrière de repos pour les forces allemandes.
Un parcours en centre ville vous permet de comprendre l'évolution de la ville jusqu'en 1914, tandis que la visite se poursuit au musée d'histoire et d'archéologie à la découverte des destins croisés d'habitants et d'occupants.

En partenariat avec l'association « Les Amis du Vieil Harnes ».
Réservation indispensable Dimanche 21 mars à 15h. Lieu du rendez-vous, l'église Saint-Martin. Tarifs : 6 euros et 3 euros. durée du circuit : 2h30.
Retour au musée d'histoire et d'archéologie.
Téléphone : 03 21 67 66 66.
L'Avenir de l'Artois

vendredi 5 mars 2010

la Voix du Nord - Les Enchanteurs ouvrent la voie du bonheur au Prévert

Il va fleurer bon la poésie et la vie de bohème, ce soir sur la scène du Prévert à Harnes ...

Au sein du collectif La Rue Kétanou, les airs de roulotte et les influences tziganes planent cette fois au coeur du voyage solo. C'est d'abord le chanteur-parolier, Olivier, qui aura le verbe haut avec Batignolles. Les envolées lyriques y seront aussi vives. Les notes à l'accordéon, comme les paroles, délivrent un rock-musette métissé qui aura de quoi bercer l'assistance, par des mélodies dansantes et entraînantes.

La température va encore grimper et la chaleur s'emparer des lieux avec Florent Vintrigner, l'accordéoniste de La Rue Kétanou, au point qu'il sera difficile de rester figé au fond du siège. L'instrument à vent ou la « gratte » sèche en bandoulière, il chante l'amour et le temps qui passe comme autant de thèmes chers à Brassens. Les accords, dans le style manouche, laisseront libre cours à l'évasion. Dans ces odes à la vie et au bonheur, les mots fusent comme ces images que la troupe imprime. Par les accords lourds de la contrebasse et le son trépidant du cajon, cette forme de caisse de résonance, la compagnie musicale diffusera les airs. Voilà comment deux des trois de la troupe de la Rue Kétanou vont faire chavirer les c(h)oeurs. Et il se murmure que Mourad, le troisième larron, pourrait débarquer sur scène en invité. Une surprise qui, à coup sûr, donnerait lieu à des morceaux d'improvisation et de sacrés « boeufs » entre partenaires de scène... et complices de rue.

Concert de Batignolles (1ere partie) et de Florent Vintrigner, ce vendredi 5 mars à partir de 20 h 30 au centre culturel Jacques-Prévert de Harnes. Entrée : 5 euros, 8 euros.

mardi 2 mars 2010

La Voix du Nord - Les riverains de la résidence Bigotte contre l'implantation d'un EHPAD à proximité

Les riverains de la résidence André-Bigotte ont à coeur de défendre la nature et ne veulent pas être catalogués comme des égoïstes. À la suite de la réunion du 18 février sur les conditions d'une implantation d'un EHPAD à Harnes, les habitants de la résidence ont souhaité préciser leur prise de position. En fait, ils ne sont pas contre l'implantation de ce type d'établissement mais plus précisément contre tout type de construction. Ils expliquent qu'ils ont à coeur de garder leur espace vert. C'est d'ailleurs ce qui les avait motivés, voici 32 années, lorsque certains sont venus s'installer à Harnes.

C'est aussi le cas des derniers arrivants dans la cité qui ne comprennent pas pourquoi il y a une telle rapidité dans l'étude du projet.

Ces Harnésiens ont cru comprendre que le financement, négocié en 2007, devait absolument voir le jour dans les trois ans, date qui arrive donc à échéance en fin d'année. Leur principal souci est de perdre leur espace de détente et d'oxygénation, mais aussi de subir les nuisances occasionnées par la circulation autour de l'EHPAD. De plus, l'accès par la rue des Chênes ne leur semble pas concevable.

Vue sur le canal

Les riverains estiment, dans le même temps, que l'environnement n'est pas idéal car trop isolé de la vie de la commune. Pour les personnes âgées qui vont résider dans ce lieu d'hébergement, la seule vue du canal pourrait être plus déprimante qu'autre chose... Pour défendre leur point de vue, ils se basent sur des faits qui ne sont pas en phase avec les arguments avancés le 18 février, lors de la réunion publique. Comme l'utilisation de la passerelle qui n'est pas actuellement possible et qui pourrait faire l'objet d'une reconstruction à un autre endroit. Ils pensent aussi que les résidants du foyer des personnes âgées voisin, qui ne sont dépendantes, auraient bien du mal à utiliser la dite passerelle, les personnes hébergées à l'EHPAD encore plus. Et d'affirmer que ce type de financement est à la mode et qu'il ne serait pas refusé si le choix de l'implantation du projet nécessitait de prendre plus de temps pour finaliser l'étude.

Les habitants de la résidence Bigotte souhaitent qu'il soit pris en compte l'implantation du complexe sur un autre site, notamment rue de Varsovie, et que la municipalité accepte d'étudier la possibilité d'acquérir des terrains à proximité des lieux initialement rejetés par faute de place.

Il n'y aurait, selon eux, pas d'urgence à commettre les mêmes erreurs que par le passé comme le stationnement et les nuisances existantes aujourd'hui à proximité du complexe sportif.

Forts de leurs documents officiels et du fait que la loi de 1986 ne remet pas en cause la classification des terrains, les riverains sont prêts à avoir recours à l'arbitrage des tribunaux si leurs arguments ne sont pas pris en compte